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NAEL EL BOUJARFAOUI

BIOGRAPHIE

           «  J'ai toujours aimé la musique, du plus loin que je me souvienne ». La musique, cette expression sincère de l'humain, c'est ainsi que Nael El Boujarfaoui la conçoit. Enfant, il avait déjà l'envie irrésistible de jouer sur les percussions qu'il trouvait, et cette adoration pour le rythme. À l'âge de six ans, il prend ses premiers cours de djembé, glockenspiel, et piano, qui lui confirment sa soif de musique. Adolescent, il grandit son amour de la musique, ce en peaufinant son goût pour les musiques afro-américaines, latines, traditionnelles bretonnes, et le jazz. Ses professeurs, qui y voient une évidence, l'encouragent dans cette voie là. Au conservatoire de Rennes, auprès de Pascal Salmon notamment, il grandit son expression artistique, et prend les devants de la création.

            La musique, comme une évidence pour Nael El Boujarfaoui. « Depuis toujours, l'amour de la musique ».

INTERVIEW

Quand avez-vous commencé à jouer ?

 

           « J'ai toujours aimé la musique, du plus loin que je me souvienne. La musique fait partie des premiers souvenirs que j'ai.

Enfant, j'ai toujours entendu beaucoup de musique. Très petit, j'adorais me saisir de percussions que je pouvais trouver pour jouer dessus. J'avais déjà un goût pour les musiques dites afro-américaines.

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           À six ans, je commençais à prendre des cours de djembé, et de glockenspiel. Puis de piano, auprès de Raphaëlle Piquet. Enfant, je connaissais l'image du pianiste de western américain, ce qui m'a donné l'envie d'apprendre l'instrument. »

 

Vous parlez souvent d'un rapport privilégié au rythme

 

          « Depuis toujours, l'amour du rythme. Depuis toujours, l'amour de la musique.

 

           Adolescent, auprès de Yann Gueguen, j'avais rejoins la batucada de Lannion, où j'avais pu perfectionner mon approche du rythme.

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            Puis, j'ai pris quelques cours de batterie à Lannion avec Yann Gueguen, dans la maison de jeunes.

 

              Puis, adolescent, je développais un goût de plus en plus affirmé pour le boogie au piano, et le jazz.

 

          Je jouais du clavier dans les groupes de rock de la maison des jeunes de Lannion. Chaque année, une tournée était organisée avec les deux groupes de la maison des jeunes dans toute la Bretagne. J'avais alors 12 ans.

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           Durant ces tournées, j'ai beaucoup appris. Sur la musique, sur moi, sur l'organisation d'événements et de tournée, sur la technique du son, sur les relations sociales etc. »

 

Quel est votre parcours académique ?

 

           « À douze ans, j’intégrais l'école de musique de Lannion, où je me suis formé au piano classique, auprès de Rémi Maldidier. Et aussi à l'analyse et orchestration classique, avec Emmanuel Smague.

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          Et surtout, où j'ai pris part aux ateliers jazz animés par le saxophoniste Sylvain Megnegneau. J'y ai développé un vrai goût pour les standards de jazz. »

 

Avez-vous toujours voulu être musicien ?

 

          « Au collège, je voulais être médecin. Au lycée, mon choix s'est finalement porté sur la musique.

 

          Yann Gueguen, puis Sylvain, m'avaient beaucoup encouragé à devenir musicien. Cela paraissait déjà une évidence sans doute à l'époque, je le vois encore plus maintenant. Je ne pourrais pas faire autre chose.

 

          Je suis rentré au conservatoire de jazz à Rennes, et la faculté de musicologie après mon bac. J'ai rencontré beaucoup de monde dans cette ville, qui est gorgée de musique et de musiciens. Sans doute les plus belles rencontres de ma vie. »

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